Ce mardi 2 juillet, j’intervenais en hémicycle au nom du groupe LaREM pour l’adoption finale du projet de loi pour une école de la confiance par l’Assemblée nationale.
Le 13 juin dernier, sénateurs et députés de tous bords politiques se sont réunis dans le cadre de la commission mixte paritaire pour l’examen final de ce projet de loi. Responsable de texte, je me réjouis de voir que, malgré des clivages politiques forts, nous sommes parvenus à nous accorder sur les points centraux du texte.
Poursuivant des objectifs de justice sociale et d’élévation du niveau général, le projet de loi pour une école de la confiance c’est :
- L’instruction obligatoire dès l’âge de trois ans, pour une plus grande justice sociale et territoriale ;
- Le renforcement du contrôle de l’instruction à domicile, pour mieux accompagner les familles ;
- L’amélioration des mesures législatives relatives à l’expérimentation, pour encourager l’innovation à l’école ;
- La création des établissements publics locaux d’enseignement international, pour faire de notre pays une véritable puissance éducative ;
- La création du Conseil de l’évaluation de l’école en remplacement du Cnesco, pour des évaluations plus efficaces de notre système scolaire ;
- La création des Instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation en remplacement des ESPE, pour une formation plus homogène et plus qualitative de nos enseignants ;
- La formation continue pour les professeurs, pour mieux les valoriser et les accompagner dans leurs missions ;
- La possibilité pour les étudiants (dès la L2) de se familiariser avec le métier de professeur, pour susciter toujours plus de vocations.